mardi 30 décembre 2008

Naître, vivre, mourir

La seule différence entre le siècle où vivait La Bruyère (le prétendu Grand Siècle) et le nôtre c'est que la morphine nous aide à mourir sans trop souffrir.
Ou même, parfois, que la morphine accélère notre mort, comme je l'ai observé maintes fois, afin d'abréger nos souffrances (je sais que l'euthanasie sans le nom est de pratique courante et j'espère en bénéficier quand le moment sera venu).

1 commentaire:

orfeenix a dit…

Il paraît que l' on meurt comme l' on a vécu, il est possible d' espérer une mort sans souffrance comme une bougie que l' on souffle, l' euthanasie est un as de conscience pour celui qui la commet plus que pour qui la subit.

Enregistrer un commentaire