samedi 25 octobre 2008

Selon Coluche

Et il n'y a rien à ajouter je pense.
Peut-être commencer à réfléchir sur les femmes politiques, genre Josée Verner, une députée conservatrice dans une circonscription électorale riche de la ville de Québec, et ministre* de la culture et des médias (on résume cela par le mot «patrimoine»: il y a «pater» dans l'étymologie de ce mot, ce qui convient parfaitement à la situation) au gouvernement canadien jusqu'à tout récemment.
Son surnom serait, dans les milieux politiques québécois et canadiens, «
il n'y a pas d'abonné au numéro que vous avez composé».
Un peu long comme surnom mais mérité me semble-t-il.
Pour contredire Coluche, je dirais qu'elle, comme femme politique, elle n'est pas bonne à rien: elle n'est prête à rien.
Voyez sa bonne bouille (je la place à droite pour une raison évidente):











* Un ministre, dans le gouvernement canadien de Stephen Harper, n'est pas tout à fait un ministre, du moins Josée Verner, entre autres, donnait cette impression. C'est un porte-voix, le porte-voix de son maître.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Homme politique c'est quatre ans de droit tout le reste de travers!

Avez-vous le film sur la candidature de Coluche au Quebec? Il vient de sortir en France et c'est un désastre...

Jack a dit…

Non. D'ailleurs Coluche est très peu connu au Québec.
Mais ses aphorismes demeurent très actuels et s'appliquent à tous les pays.
Comme le vôtre, dont je vous remercie.

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